14/09/2025
C'est quoi ces nouveaux centimètres
Au fond du seau il y a le bé. Au-dessous de l’évacuée. Il tire sur le côté. Voir le coin de sa bouche, c’est deviner le bé dans lequel il l’amènera clandestinement.
Nous n’irons pas au bois mais au bé.
Elle est où l’échappée, elle est dans sa méthode de placer des poids sur une ligne qui relie terre et ciel.
Il pourrait lui dessiner des flèches sur les côtés mais trop tard, des milliers de peintures l’ont fait. Il coupe court à cette vue et lui dit d’avancer, c’est quoi ces nouveaux centimètres, depuis quand ils existent. Il faut les vérifier depuis le beffroi, apparition, résorption, félicitations.
C’est quoi cette longueur elle sort d’où, encore une nouveauté. La chair pince son fameux face à l'irréel plus vrai que nature. Une superposition fait que l’année dernière, le crin noué d’un autre traça la même ligne et longtemps après, l’écarquillé de quelques centimètres tomba de tout son bé.
Excédent qu’elle est la seule à cligner quand lui ne voit que son endurance, à point se sont croisés.
12:28 Publié dans textes inédits | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : seau, bé, poids, beffroi
31/08/2025
La chambre de Napoléon
Le propriétaire de la chambre lui ouvre la porte, elle reconnait son brinquebalant qui est aussi le sien. Il boite il grince en suave, sa chemise de Klaus pend au radiateur, il cherche ses lunettes, elle bafouille. L’altérité a de sacrés bouquins, une selle au sol et des cases noires, une toile épaisse sur canapé, tant de chemins qui mènent au hon. Je pourrais revenir souvent, ouvrir la bouteille de gaz ou la ramener au magma, mais faites donc, aucun problème, salut. Il existe ce vivant, se tenir à ses côtes comme l’ombre zieutant, écrire.
20:01 Publié dans textes inédits | Lien permanent | Commentaires (0)
27/08/2025
Les gris-gris
L’un d’eux veut luire avec elle. Elle lui répond je vous ai vu filer droit avec votre lignée, ce n’est pas comme ça qu’on luit. Ce n’était pas moi mais bien vu qu’il lui dit, encore de vous lire en dure depuis la ligne d'où je ne puis plus. Elle se dit bon sang suis-là veut luire en grattant éternellement ce qu’il peut, qu’il me lise en dure si cela lui chante, encor.
11:52 Publié dans textes inédits | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : luire, ligne, dure, d'où